Histoires de vie

Nous te présentons ici les cellules de maison existantes. Chaque photo représente une cellule et leurs participants.

En cliquant sur l’image, tu découvriras quelques témoignages de l’un ou l’autre participant…

Cellule de maison se réunissant chez Jean-Christophe et Nathalie

Cellule de maison se réunissant chez Jean-Claude et Brigitte

Cellule de maison se réunissant chez Philomène 

Cellule de maison se réunissant chez Joseph

Voici quelques témoignages de vie qui, nous l’espérons, t’encourageront.

Lis…découvre…apprécie !

L’année 2022 était remplie de combats et de luttes….

Des défis à relever, des moments de découragements, affronter les conflits, les difficultés et les échecs !

Mais, grâce à mon (notre) Père Céleste, j’ai relevé les défis, remporté les victoires dans les moments de combat.

Dieu a renouvelé mes forces et mon énergie chaque jour. J’ai choisi de continuer à le siovre, de dépendre de Lui et de regarder à Lui. Continuer la course malgré les moments de doute et d’incertitude !

« Je suis capable de tout cela grâce au Christ qui me rend fort » Philippiens 4.13

« Dieu est pour nous un refuge et un appui, un secours toujours présent dans la détresse » Psaume 46.2

PM – Février 2023

J'ai vécu un miracle !

Le 20 octobre 2022, j’ai été hospitalisée d’urgence.

Suite à une période d’essouflements intenses et malgré les différentes investigations….pas d’explications !

Je me suis donc retrouvée aux urgences de SOS Santé à St-Avold. Une prise en charge des plus professionnelles !

Diagnostic : une double embolie pulmonaire !

Me voilà aux soins intensifs…des jours remplis de fatigue, des soins adaptés, un personnel des plus performants.

Mais c’est ma vie qui se jouait ! Sur le coup, je n’étais pas toujours consciente de ce que je vivais mais plus tard, j’ai réalisé l’enjeu !

Durant toute cette période, j’étais très entourée et soutenue par la prière (ces prières si précieuses adressés au Père).

Merci à tous ceux qui étaient là, d’une manière ou d’une autre !

Je suis médicalement suivi, les progrès sont visibles et je les ressens !*Dieu a eu pitié de moi !

Gloire à Dieu !

Je voudrais vous partager ce chant de Glorious « Tu viens relever le faible ».

Renée – Janvier 2023 

 

Je choisis de louer Dieu !

La louange est à la fois facile quand tout va bien….

Je loue le Seigneur du fond de mon cœur en étant reconnaissante pour qui Il est mais aussi de tout ce qu’Il fait pour moi et les autres. C’est un temps riche (en émotions), un cœur à cœur avec mon Papa céleste,

Et difficile quand je ne vais pas bien ou quand j’ai des difficultés car, dans ces cas là, ma tendance serait plutôt de me plaindre, de revendiquer, de discuter.

Mais c’est à ce moment-là que je choisis de déposer mon fardeau à mon Père céleste qui me connaît profondément et qui sait ce dont j’ai le plus besoin : c’est à ce moment-là que je décide de le louer.

Et alors les écluses du ciel s’ouvrent !

J’ai parcouru très rapidement les psaumes et dans beaucoup d’entre eux, il y a cette notion : « Je veux louer le Seigneur pour sa loyauté, sa bienveillance » (on retrouve les attributs de notre Seigneur) et ensuite « je célèbre en musique le nom du Dieu très haut » Ps. 7.18

Ps. 9.2 et 3 « De tout mon cœur, je veux te louer, Seigneur, et raconter toutes tes merveilles. Je veux chanter victoire à cause de toi et célébrer en musique le nom du Dieu très haut »

C’est quelque chose que j’aime faire : louer le Seigneur de tout mon cœur pour qui Il est et pour ce qu’Il fait. J’aime raconter toutes les merveilles qu’Il accomplit dans ma vie et dans la vie des autres. J’aime également le matin, quand j’ouvre les yeux, même avant de saluer mon conjoint, m’adresser à mon Père céleste pour le remercier, le louer.

Psaume 13.5   « Moi j’ai compté sur ta bonté… que tu as fait en ma faveur »

Ps. 96.1  « Chantez en l’honneur du Seigneur un chant nouveau….remerciez le d’être votre Dieu »

Ps. 58.1  « Chantez en l’honneur du Seigneur un chant nouveau car Il a réalisé des merveilles par son savoir-faire et son pouvoir divin »

Ps. 149 et 150  Louer et glorifier le Seigneur par des danses au rythme du tambourin, du luth, des cymbales, de la flûte ….de la guitare !

Je vous encourage à tendre à une relation d’intimité avec Dieu, de le louer, de l’honorer, de l’adorer de tout votre cœur même quand si vous n’en avez pas envie.

Ne louer pas Dieu pour vous faire du bien ! La louange est une attitude de cœur.

Les fruits de la louange sont la joie, la paix, la sérénité mais aussi l’action de grâce, l’adoration, la guérison, la libération, la délivrance. Quelquefois aussi, la conviction de péché, une remise en question.

 Souvenez-vous que votre Père céleste sait ce dont nous avons besoin !

Février 2022

 

Le sens de la vie

Interview avec une amie.

Merci de te prendre ce temps pour parler de toi et de ton vécu. Pour commencer, pourrais-tu te présenter ?

Je vis en Lorraine avec mon conjoint. Nous avons 4 enfants et 3 petits-enfants. J’aime ma famille, écouter les autres et les encourager. J’aime plus que tout la manière dont Dieu m’aime.

Comment te définirais-tu avant que Jésus ne fasse partie de ta vie ?

Pendant des années, je cherchais l’amour, être aimé, je voulais être heureuse ; trouver le « bonheur ». Malgré des parents aimants, j’ai connu : la solitude, la trahison, le rejet, des paroles de travers, une relation brisée. Toutes ces blessures ont véhiculé des mensonges auxquels j’ai cru : Tu ne vaux rien, tu es trop ceci ou trop cela, pas assez cela, tu es décevante, etc…. J’ai fini par une dépression.

Qu’est-ce qui t’a conduit à accepter Jésus comme ton Seigneur et ton Sauveur ?

Un jour, j’ai rencontré une personne qui m’a fait découvrir Jésus. J’ai compris que ma vie était un chaos et que j’avais besoin de Jésus qui voulait restaurer ma vie. Je me suis rendu compte que j’avais fermé mon coeur à cause de mes déceptions, mes blessures et que je gérais mal tout cela. 

En lisant la Bible, j’ai compris que Jésus m’invitait à ouvrir mon coeur pour l’accueillir et qu’Il prenne toute la place.

« Je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu’un m’entend et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je dînerai avec et lui avec moi ». Apocalypse 3.20

Est-ce que ta conversion à Christ a donné un sens à ta vie ?

Jésus m’a rejoint là où je souffrais et a opéré petit à petit des guérisons, des libérations car lui seul sait parfaitement ce que chacun de nous nous avons vécu et à quel moment nous l’avons vécu. J’ai demandé pardon à Jésus pour ma vie passée et accepté son salut. Petit à petit, il est devenu mon Seigneur et mon Sauveur mais surtout mon Père céleste, en qui je peux mettre toute ma confiance. Il guérit mon coeur brisé. La rencontre avec Christ a donné un sens à ma vie : me savoir aimé par Christ d’un amour inconditionnel permet de m’aimer, d’aimer les autres, me pardonner, pardonner aux autres.

Comment te définirais-tu maintenant ?

Aujourd’hui, j’ai l’assurance qu’Il m’accompagne tous les jours de ma vie. Il est là dans les moments de joie et de lutte. Et le plus extraordinaire, ce sont les moments d’intimité dans la prière.

Merci pour ce magnifique partage. 

Septembre 2021

Délivré de l'alcoolisme...

Je suis né dans une famille catholique, près de Saint-Avold en Moselle. Ma mère étant pratiquante, il était naturel pour moi d’aller à l’église et de croire en Dieu. Mon père critiquait la religion, les curés et il buvait.

 

J’ai vécu une enfance heureuse malgré certaines nuits, où, terrorisé, j’entendais mon père crier et claquer les portes car il était ivre. Je me jurais de ne jamais lui ressembler. Secrètement, je n’aimais pas l’école, c’était trop dur pour moi. À partir du collège, je suis entré graduellement dans une timidité maladive, qui m’a suivie durant toute ma scolarité. Quand il fallait lire en classe, je bafouillais, j’étais bloqué. Dans ma relation avec les autres, je me sentais complètement nul.

Durant mon adolescence, j’ai commencé à goûter à l’alcool, ça m’aidait à sortir de moi-même et à m’amuser. De fil en aiguille, je buvais tous les week-ends, pour être certaines fois complètement ivre. Puis, c’est tous les jours que j’allais au bistro, me jurant en arrivant, de ne pas être saoul en sortant. Pourtant, à chaque fois, c’était l’échec,  j’en souffrais énormément. Certaines soirées bien arrosées se finissaient au cabaret en Allemagne. Toute ma paie y passait, je réalisais que je devenais comme mon père. J’ai également commencé la cigarette, pour fumer jusqu’à deux paquets par jour. Enfin, j’ai goûté au cannabis. Ma situation me faisait vraiment peur ; ma volonté intérieure s’était comme endormie.

Durant toute cette période, je vivais un  conflit croissant avec mon père. Certains jours, il m’humiliait, ou me faisait comprendre que je le dégoûtais.

Au fond de moi, je priais et criais souvent vers Dieu.

Alors que j’avais 20 ans, une amie m’invita à passer un week-end de jeunes dans un centre chrétien. Les personnes présentes avaient  une telle liberté dans leurs relations, priaient et chantaient en levant les mains, que j’étais sur  mes gardes : je pensais que c’était une secte. Progressivement, ma crainte se dissipa. Je ressentais un amour fort et réel entre eux et à mon égard. Mes complexes devenaient secondaires. Je constatais que les enseignements donnés correspondaient à ce que j’avais déjà entendu à l’église.

Le temps d’adaptation passé, une soif grandissante de recevoir ce que chacun  ici semblait avoir reçu prit place au fond de moi. Mon être intérieur hurlait afin que Jésus me libère ; je savais que j’étais sur la mauvaise voie, il fallait que je me débarrasse de mes traverse si je voulais vivre avec Dieu. Il répondit sans tarder, en me visitant par sa présence du sommet de ma tête jusqu’au bout des orteils. C’est une expérience indescriptible. La  joie, la paix, le bien-être firent irruption dans ma vie et me submergèrent. Je n’avais plus qu’une envie : être reconnaissant, remercier Dieu par des prières et des chants.

D’un coup, Jésus devint proche, c’est Lui que je cherchais depuis longtemps. Comme le dit la bible, Il était présent, Il me lavait de tous mes échecs, de mes incapacités, de mes erreurs et m’offrait son pardon.

De retour chez moi, j’ai constaté l’action de Dieu pour moi : entrant dans les bars, plus besoin de boire jusqu’à en être enivré, j’arrivais enfin à me maîtriser. A suivi la libération du tabac, puis le processus de guérison de ma timidité a démarré. J’apprenais à m’aimer et à avoir une nouvelle image de moi.

Une aventure passionnante avec Dieu dans ma vie a commencé, c’était palpitant, épanouissant, surprenant. Autour de moi, je vois des personnes à leur tour transformées, libérées, guéries. J’ai le privilège de rencontrer des gens de tous milieux sociaux, culturels, d’origine et de style, qui partagent ce même feu. C’est extraordinaire!

Dieu a un effet positif sur ma vie de couple et de famille. Il a dirigé ma rencontre avec mon épouse et a un impact sur moi en tant que mari, sur mon épouse, nos 4 enfants.

Dieu agit encore concrètement aujourd’hui. Il est une source intarissable, inépuisable de bénédictions. Être à son service, être un disciple de Jésus est un grand privilège. Témoigner de ce que Dieu a fait pour moi, former à mon tour des disciples de Jésus est un cadeau et une joie immense. Que la première place Lui revienne !

Avril 2021

De la dépression à la vie...

Elevée dans une famille catholique pratiquante, mes parents ont tout fait pour que je sois heureuse et que je ne manque de rien.

 

Mon enfance a été plus ou moins agréable.

Ayant eu un père alcoolique et une mère sans autorité, je n’ai pas eu beaucoup de limites. 

Je vivais souvent dans la crainte par rapport aux réactions de mon père quand il était ivre, surtout vis à vis de maman. Elle se confiait beaucoup à moi. Je me culpabilisais car je me sentais démunie face à leurs difficultés de couple. C’était une lourde charge pour moi.

Vers l’âge de 16 ans, je choisis de mourir après le décès de ma grande tante que j’aimais particulièrement.

Après une déception amoureuse, je choisis de me suicider.

Suite à tout cela, je suis tombée dans la dépression.

Après un traitement, des visites chez un psychiatre, une amie me parla de sa foi et m’invita à participer au groupe de jeunes en 1982.

J’ai pu rapidement partager des choses que je n’avais jamais dites auparavant. J’ai découvert une foi vivante, un Dieu qui pouvait changer ma vie, sur qui décharger mes fardeaux et qui pouvait pardonner mes péchés.

Cela me paraissait à la fois possible et impossible. Après une période de doutes, de questions, je choisis d’accepter Jésus et de la connaître davantage.

Le Seigneur m’a guéri instantanément de mes crises de spasmophilie et progressivement de la dépression.

J’ai appris à connaître Dieu en lisant la Bible, en assistant à des moments de  partage. Cela a changé mon regard sur moi-même, sur les autres et surtout sur Dieu.

En cheminant, le Seigneur me donna confiance en moi, une assurance en Lui et sa paix dans mon cœur.

Je découvris mes qualités, mes faiblesses, l’importance de la repentance mais aussi l’acceptation du pardon vis à vis de moi-même. Jésus me libéra, me guérit par rapport à mon passé.

J’ai compris que mon identité était en Christ et que Christ est mon modèle. J’ai appris à dépendre de Lui en cherchant sa volonté, ses pensées aussi bien dans mes moments de joie que de combat.

Depuis, il me comble de ses bienfaits et de ses bénédictions.

Quelques exemples de bénédictions : la rencontre avec Joseph, le don de nos 4 enfants, nos 3 petits-enfants.

Un cadeau extraordinaire parmi tant d’autres : nos 4 enfants servent le Seigneur avec leur conjoint ou futur conjoint. C’est extraordinaire !

Un autre cadeau : la rencontre de frères et sœurs au travers desquels j’ai beaucoup appris dans le cadre des cellules et autres.

J’aime me retrouver dans la présence du Seigneur ; ce sont les moments les plus beaux de ma vie. Je suis en sécurité, je me lâche complètement, quel bonheur ! Sa Parole devient pour moi un besoin quotidien, ma nourriture journalière.

Mars 2021

 

 

 

Amitié...

Dans le cadre de ma profession d’assistante maternelle, j’ai rencontré une collègue qui m’a parlé de sa foi et m’a partagé ce que le Seigneur avait changé dans sa vie. Après avoir cheminé un certain temps avec cette collègue, elle est devenue mon amie. Grâce au temps passé avec elle et à ses prières, j’ai donné ma vie au Seigneur. Depuis, je continue de vivre ma foi. Toutes les deux, nous poursuivons nos moments de partage et de prière qui sont essentiels pour moi et me permettent de grandir dans la foi.

Janvier 2021

Voler comme l'aigle...

 « Mais ceux qui se confient en l’Eternel renouvellent leur force ; ils prennent leur vol comme les aigles. Ils courent et ne se lassent point, ils marchent et ne se fatiguent point. » Esaïe 40.31

Je suis née dans une famille chrétienne où nous allions en famille à l’église le dimanche matin. Mon père était lecteur et assurait souvent des cultes.

 

Vers l’âge de 16 ans, j’ai donné ma vie à Jésus.

J’étais quelqu’un d’extrêmement timide. Je n’arrivais pas à communiquer correctement avec les gens, je parlais très peu, je n’avais pas d’opinions, en tout cas c’est ce que je pensais, j’étais toujours en proie à un mal être intérieur mais je ne savais pas pourquoi à l’époque. Même le téléphone était une épreuve pour moi. Je n’avais pas du tout confiance en moi, je me sentis plutôt nulle, sans qualités et sans spécialement de valeur. J’avais une image complètement déformée de moi. Pendant que les autres avaient l’air de profiter à plein régime de leur adolescence, moi je me triturais les méninges pour comprendre pourquoi j’étais comme ça.

*Pour faire le parallèle avec le verset cité plus haut, je voudrais dire que, pendant ces années compliquées, Dieu est venu m’apprendre à voler de mes propres ailes.

Les spécialistes disent que, lorsque vient le temps pour les aiglons d’apprendre à voler, la mère commence par voltiger au-dessus du nid pour leur montrer à quoi servent les ailes. Les aiglons commencent à l’imiter et font battre leurs ailes sur les bords du nid et entre les branches. Lorsqu’ils se décident à plonger dans le vide et à quitter le nid, souvent ils tombent au lieu de planer. Quand cela arrive, la mère aigle vole au-dessous d’eux et les transporte sur ses ailes jusqu’à ce qu’ils puissent voler ou jusqu’à ce qu’ils soient en sécurité.

Dieu m’a soutenu, pendant des années il m’a porté et m’a appris à sortir de cette timidité.

Il m’est arrivé de penser que Dieu m’avait laisser tomber, qu’il n’était pas là, mais ça c’est un mensonge de l’ennemi. Dans les faits, Il m’a aidé à Lui faire confiance et ensuite à reprendre confiance en moi.

L’ennemi me maintenait comme en prison mais Dieu m’a délivré et m’a appris à ne plus croire aux mensonges de l’ennemi.

Au fil du temps, j’ai été transformée par Dieu. C’est un vrai travail de guérison et de délivrance qu’Il a fait dans ma vie.

A tel point, que bien des années plus tard, alors que j’avais trouvé un travail passionnant, je passais une bonne partie de la journée à discuter au téléphone avec des clients, des notaires, des avocats, des banquiers….. Je n’avais plus peur, j’avais été transformée !

*Une autre qualité de l’aigle, c’est qu’il utilise les courants pour voler de plus en plus haut. Même la tempête ne l’arrête pas, il l’utilise pour voler. Il incline ses ailes d’une certaine façon et il se laisse porter par les courants.

J’ai appris à me laisser porter et non à laisser ma timidité prendre le dessus. J’ai appris à planer au-dessus des tempêtes du quotidien et à regarder au loin. Et c’est le cas encore aujourd’hui. Je me place au-dessus de la tempête et je me laisse porter !

Cela ne veut pas dire que je n’éprouve aucun sentiment, que je n’ai pas peur ou que je ne me pose aucune question. Cela veut simplement dire que je m’abandonne à Dieu, que je ne laisse pas les circonstances déterminer qui je suis et ce que je dois faire.

*Une autre qualité de l’aigle, c’est qu’il voit 8x plus loin que l’être humain et qu’il a une vue à 360°.

Une vision à 360° permet de cerner une situation dans sa globalité. La vision de Dieu sur ma vie n’était pas de me focaliser sur mes faiblesses et d’en rester prisonnière. Mais sa vision m’a permis de prendre conscience de mes faiblesses mais aussi de mes forces (c’est comme faire un 360° intérieur). Avec notre vision humaine, on ne voit pas toujours l’ennemi arriver.

Je me suis laissé transformer par le St Esprit pour rentrer dans Sa vision. C’est-à-dire qu’Il a transformé ma façon de voir et de percevoir les choses. J’apprends encore aujourd’hui à me débarrasser de ma façon de voir les choses, à avoir une vision claire et à me focaliser sur Dieu.

Je sais maintenant que la seule façon remporter des victoires c’est de laisser Dieu me guider. Pourquoi ? parce que ma vraie identité est en Dieu, parce que je suis son enfant aimé et choyé et qu’Il veut le meilleur pour moi.

*Un autre parallèle avec l’aigle, c’est sa nourriture.

Sa nourriture préférée, c’est le serpent. Pour l’attraper, il va l’emmener dans les hauteurs, le secouer et s’envoler avec lui. Le serpent ne pouvant alors plus s’enrouler autour de lui, l’aigle lui coupe la tête.

J’ai appris, et j’apprends encore, à couper la tête du serpent. Je parle de timidité mais ça peut être tout autre chose dans notre vie.

La timidité reprend le dessus quelquefois : l’ennemi me dit « Tu n’y arriveras pas » ou « Ça ne marchera pas » ou « T’es nulle »….. Plein de pensées négatives se bousculent dans ma tête et me détournent de Dieu.

Ou je laisse ces pensées continuer à m’embrouiller et à me contrôler ou alors, je coupe court, je remets ses pensées à Dieu, je prends autorité sur ces pensées et comme ça je coupe la tête du serpent.

En résumé, je dirai que, sortir de la timidité n’est pas qu’une question de volonté. C’est une question d’identité en Christ, de savoir qui je suis et ce en quoi je crois. Dans ma vie de tous les jours, je veux m’attendre à Dieu, profiter des courants qu’il met à ma disposition  « pour planer sur le vent de l’Esprit ».

Si je veux vivre une vie d’aigle royal, je sais que je peux voler plus haut, regarder plus loin et proclamer tous les jours que c’est Dieu qui règne en moi et que je suis son enfant bien-aimé ! La victoire est au bout !

Janvier 2021


Il m'a transformé...

Hello ! Je m’appelle Nando, j’ai 28 ans.

Étant jeune chrétien, j’ai la chance de pouvoir apprendre tout un tas de choses chaque jour. 
Depuis ma conversion, il y a bientôt 6 ans, j’ai eu la chance de vivre des moments fantastiques et plein d’enseignements en compagnie de Jésus et de mes frères et sœurs. Ma rencontre avec Dieu a été pour moi un nouveau départ et une nouvelle vie, une vie en binôme avec lui.
Tout ce qu’il s’est passé depuis m’a fait prendre conscience du fait qu’il a toujours été là pour moi et a agi dans ma vie alors que j’étais tellement éloigné de sa présence.

Dieu a changé mon cœur et maintenant mon cœur le loue !

Septembre 2020