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BONNE ANNÉE 2024

L’année 2023 s’est terminée sans doute avec plus d’interrogations que lorsqu’elle a commencé, que ce soit au niveau national, international ou au niveau personnel.
Nous espérons que Noël a été pour vous un temps de retrouvailles et de joie !

Pour l’année nouvelle, nous vous adressons des vœux de bonne santé et de prospérité. Mais selon l’optique dans laquelle nous les penserons et formulerons, ils seront très différents. Nous souhaiterions, dans ce court message, les placer dans la perspective de la venue prochaine de Jésus-Christ, toute aussi importante que la première. Celle-ci inaugurera le processus qui conduira à l’établissement des choses « dernières », celles qui demeureront éternellement.

N’oublions pas dans cette nouvelle année la promesse exprimée par Jésus à ses disciples avant de les quitter : « Je suis avec vous tous les jours ».

Alors, quelles que soient les situations à vivre en 2024, que vous puissiez être soutenus et illuminés par cette promesse.

Bonne année à tous sous le regard bienveillant de Dieu !

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Célébrons Noël Ensemble – 2 décembre 2023

Une belle après-midi et une belle soirée ….beaucoup d’amitié, de moments fraternels, de discussions et de partages animés !

Chaque cellule a présenté sa version de « Savoir accueillir », thème choisi pour cette rencontre. Les uns ont amené les participants à une réflexion sur l’accueil, d’autres ont préparé un sketch qui racontait l’histoire de la soupe aux cailloux, d’autres encore un sketch sur l’histoire d’Abraham et l’accueil des anges, d’autres une interview sous forme de plateau télévisé et les derniers ont raconté l’histoire d’un petit ourson qui accueillait les animaux en difficultés.

De quoi remplir agréablement notre après-midi !

Puis, nous avons pris un super repas ensemble où chacun a apporté sa contribution.

Le tout en images……

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Recevez la paix en venant à Jésus

La paix est une vertu mentionnée près de trois cents fois dans la Bible. Une telle fréquence nous rappelle l’importance qu’elle revêt. 

Le mot « paix » se trouve dans la bouche des politiciens de tous bords. Fidel Castro, qui venait de recevoir le prix Lénine de la paix, dit : « Quels sont ceux qui luttent pour la paix ? Ce sont les communistes… Quels sont ceux qui menacent la paix ? Ce sont les capitalistes… » Faisant écho à ces propos, Ronald Reagan, présentant le communisme comme l’empire du mal, déclare : « Nous ne cesserons jamais de rechercher une paix véritable. »

Tous les puissants du monde, qu’ils soient de tel ou tel bord, de telle ou telle croyance, ont eu dans la bouche ce mot de paix. Tous ont proclamé haut et fort qu’ils voulaient la paix. Cependant, la paix semble être un mirage qui disparaît vers un horizon inatteignable.

Si une paix mondiale reste une utopie, une paix individuelle est-elle possible ? Peut-on trouver, même au sein des pires situations que nous pouvons vivre, un havre de paix ? 

On avait demandé à plusieurs artistes de réaliser un tableau représentant la paix. Certains avaient peint des tableaux bucoliques, d’autres des colombes avec des rameaux d’olivier, mais celui qui remporta le premier prix avait représenté un nid placé au creux des branches d’un immense arbre, où dormaient paisiblement des oisillons. L’arbre était secoué par une violente tempête, la nature était déchaînée, mais ces frêles oiseaux étaient en paix.

Avant de communiquer la paix, il nous faut la recevoir en venant à Jésus, qui a dit : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix » (Jean 14.27).

Paul Calzada

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Les relations humaines

Les relations humaines sont complexes et souvent difficiles. Il faut apprendre à s’écouter, à se parler, à se comprendre mutuellement, à se pardonner…

Nous avons tous été blessés par des paroles, des attitudes qui nous ont contrariées, nous avons tous fait des gaffes avec nos paroles et nous avons suscité la colère d’autres personnes.

C’est vrai que la relation humaine demande une attention constante mais elle est aussi une véritable source d’enrichissement. C’est ce qui doit nous habiter profondément.

Dieu, en Jésus-Christ, a voulu entrer dans cette réalité des relations humaines en se faisant homme parmi les hommes. Il a choisi de naître, de grandir, de vivre comme tout un chacun. Il a assurément été témoin de tout l’amour engendré dans les relations humaines mais aussi de toutes les souffrances et les conflits générés par des incompréhensions et des malentendus.

Si Dieu a voulu manifester sa proximité en se faisant l’un de nous, s’il est allé jusqu’au bout de son chemin dans le mystère de la croix, c’est aussi pour rétablir la source profonde de nos relations : l’amour.

C’est le seul chemin qui nous garantisse le bonheur, c’est le seul moyen pour rétablir les cassures de relations, c’est le seul don qui puisse nous sortir des ornières de nos conflits humains.

L’amour reçu, l’amour donné, c’est la seule richesse en ce monde qui, plus elle est partagée, plus elle s’accroît.

Comme chrétiens, nous sommes appelés à témoigner de l’amour de Dieu dans l’amour du prochain. Nous ne sommes pas meilleurs que les autres, nous subissons nos propres fragilités. Néanmoins, nous portons cet appel de Jésus à ses disciples au soir du jeudi saint ; « A ceci, tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres » Jean 13.35

Puissions-nous être porteurs de cet amour autour de nous ! Cela demande un effort de patience et de simplicité, cela exige de chacun la volonté et le désir de croire que l’on peut toujours aller plus loin pour rétablir la confiance mutuelle.

Cela demande aussi que l’on prie les uns pour les autres afin que l’Esprit Saint éclaire nos chemins et nous obtienne la grâce de la communion fraternelle.

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Pour une rentrée sereine

Pour beaucoup, les vacances sont déjà loin, l’été se termine et la rentrée se profile. Rentrée scolaire, professionnelle, politique, peu importe, rentrée est souvent synonyme de stress, d’inquiétude, de défis à relever, d’achats, de dépenses….

Comment garder le bénéfice des vacances et continuer à ménager son âme et son corps ?

Voici 3 versets qui pourraient vous y aider ! Confessez-les chaque jour, à chaque fois que vous en ressentez le besoin ! Ce n’est pas magique, c’est Dieu qui veut vous accompagner chaque jour, dans toutes les choses que vous avez à faire et dans tous les domaines de votre vie !

“Je peux faire face à toutes les difficultés grâce au Christ qui m’en donne la force”. Philippiens 4.13

Quels que soient les défis de cette rentrée, je sais que Toi Seigneur Tu me donnes la force et les ressources pour y faire face.

“C’est dans le calme et la confiance en Toi Seigneur que sera ma force.” Esaïe 30.15

Je lâche tout entre Tes mains, je Te confie ma vie, mon conjoint, mes enfants, mais aussi mes peurs, mes doutes… chaque détail de cette rentrée. Je te fais confiance et je reste dans la paix.

« La joie qui vient du Seigneur me donnera de la force. » Néhémie 8.10

Je choisis dès le matin que Ta joie sera ma force. Merci pour cette joie qui est une force intérieure et puissante au fond moi.

A chaque fois que c’est nécessaire, prenez un moment et entrez dans la présence de Dieu puis….. mettez votre âme au vert !

Bonne rentrée à chacun(e) !


Inspiré de Christine Piauger de Famille & co

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Pourquoi Lui faire confiance ?

Voici une réflexion proposée par « Sa Parole pour Aujourd’hui » sur la confiance en Dieu.

1. Pourquoi Lui faire confiance ?

“Ne t’appuie pas sur ton intelligence, mais de tout ton cœur, mets ta confiance dans le Seigneur”. Proverbes 3. 5

La vie est difficile, nul ne le contestera :“c’est pour la misère que l’homme est né…”(Job 5.7). Nous nous sentons démunis devant les crises qui nous assaillent, divorce, faillite, chômage, maladies incurables ; même des problèmes moins sérieux nous irritent souvent : la machine à laver qui tombe en panne, la voiture qui ne veut pas démarrer, la rame de métro qui entre en gare déjà bondée, le magasin qui vient de fermer sous notre nez…etc.

La liste pourrait être longue. L’anxiété et les soucis font partie de notre quotidien. Nous lisons les journaux ou écoutons les informations pour n’entendre parler que de guerres, de tueries, d’injustice, d’exploitation de femmes et d’enfants…

Il est tentant de se demander : “Où est Dieu pendant ce temps? Ne se soucie-t-Il plus de la souffrance qui remplit la terre ? Laisse-t-Il le mal se répandre sans en être bouleversé ?” Pourquoi donc faire confiance à Dieu ? Peut-on croire qu’Il nous délivrera comme le psalmiste l’affirme : “Dès que les justes appellent au secours, le Seigneur entend, Il les délivre de toutes leurs détresses” (Psaume 34. 17) ?

Peut-on croire qu’Il sera à nos côtés même quand nous ne ressentons pas Sa présence et que nous ne voyons aucune évidence de Son action ? Personne n’aime souffrir, personne ne se réjouit de se retrouver handicapé suite à un accident. Dans de telles circonstances se soumettre à Sa volonté, quand nous ne la comprenons pas, s’avère périlleux.

Souvenons-nous des paroles de Salomon : “Regarde l’œuvre de Dieu : qui pourra redresser ce qu’Il a courbé ?” (Ecclésiaste 7. 13).

Lui faire confiance et Lui obéir sont deux facettes complémentaires de notre marche avec Lui.

Jerry Bridges écrit : “Quand nous désobéissons à Dieu, nous défions Son autorité et méprisons Sa sainteté. Quand nous ne parvenons pas à Lui faire confiance, nous mettons en doute Sa souveraineté et Sa bonté. Dans les deux cas nous dénigrons Sa majesté et Son caractère.”

Notre seul soutien vient de Sa Parole. Nous y trouvons la grâce nécessaire pour faire face aux circonstances éprouvantes. Et nous y trouvons les vérités à Son sujet qui nous permettront d’endurer l’adversité :

– Dieu est souverain.

– La sagesse divine est infinie.

– L’amour de Dieu est parfait.

Pourquoi Lui faire confiance ? Parce qu’Il est Dieu, qu’Il contrôle tout, que Sa sagesse dépasse notre entendement et surtout que Son amour pour nous est immense.

2. Pourquoi Lui faire confiance ?

Car je répandrai des eaux sur le sol altéré, et des ruisseaux sur la terre desséchée.” Esaïe 44. 1-6

Pour parvenir à Lui faire confiance même au travers des épreuves, nous devons reconnaître l’absolue souveraineté de Dieu en toutes choses.

Lui faire confiance, surtout quand nous ne comprenons pas où Il nous mène, est essentiel. Ses plans dépassent notre entendement, Sa sagesse surpassant nos piètres efforts à les comprendre. Dieu n’agit pas par caprice. Toutes Ses décisions nous concernant sont régies par l’immensité de Son amour.

Jérémie écrit : “Même s’Il fait souffrir, Il est plein de tendresse, tant Sa bonté est grande. Car ce n’est pas de bon cœur qu’Il accable et fait souffrir les humains” (Lamentations de Jérémie 3. 32-33).

Derrière chaque épreuve se cache un plan plein d’amour à notre propos. Nous devons donc d’abord accepter Sa souveraineté sur notre vie. Force nous est de reconnaître notre incapacité à comprendre Ses plans et le chemin où Il veut nous mener.

Après avoir examiné les relations entre Dieu et Son peuple, les Juifs, Paul reconnaît que les voies et les pensées de Dieu dépassent notre intelligence, et que la seule attitude possible est de Lui faire confiance chaque jour.

Job mit du temps pour accepter cette vérité mais il s’écria enfin : “Oui, je le reconnais : j’ai parlé de choses merveilleuses qui me dépassent, et je ne le savais pas” (Job 42. 3). Il ne découvrit néanmoins jamais la causes de ses malheurs.

C’est au point de non-compréhension que le croyant se soumet à la volonté de Dieu, Lui faisant confiance pour tout ce qui peut lui arriver dans la vie.

Pour arriver à ce degré de confiance, il est impératif d’avoir une relation intime avec Lui, comme David l’a si bien exprimé : “Qu’ils mettent leur confiance en Toi, ceux qui connaissent Ton nom, car Tu n’abandonnes pas ceux qui Te cherchent, Seigneur !” (Psaume 9. 11).

Cela équivaut à Le connaître personnellement et intimement. Simplement savoir qu’Il est saint, omniscient, ou encore le Créateur des Cieux et de la terre et qu’Il continue à tout gouverner, ne suffit pas. Ce n’est que lorsque nous entrons dans Son intimité, que nous découvrons qu’il est devenu plus facile de Lui faire confiance chaque jour !

3. Pourquoi Lui faire confiance ?

Aucune sagesse, aucune intelligence, aucune réflexion humaine ne peuvent s’opposer à Dieu” Proverbes 21. 30. 

Si la chute d’un simple moineau (Matthieu 10. 29) n’échappent pas à la perspicacité et surtout à la volonté de Dieu, comment imaginer qu’il n’en serait de même pour chacun d’entre nous ?

Aucun détail de notre existence n’est trop insignifiant à Ses yeux. Aucune des circonstances dans lesquelles nous nous retrouvons plongés n’est trop difficile pour Lui. Voir un miracle se réaliser sous nos yeux, attestant de la Toute-Puissance de Dieu est bien plus facile à accepter que les interventions divines que nous ne voyons pas.

Néanmoins Dieu travaille souvent dans l’ombre, loin des regards humains, sans avoir recours à un miracle, mais simplement en orchestrant les circonstances de manière à accomplir Ses plans pour notre vie.

Quand le peuple d’Israël, mené par Moïse, se trouva coincé sur les bords de la Mer Rouge, Dieu opéra une délivrance spectaculaire. Mais ne prenons pas cet exemple comme une manifestation normale de Ses interventions. Plutôt le contraire. Il n’a pas recours aux miracles comme un magicien ferait des tours de passe-passe pour amuser la galerie. Jésus refusa ainsi de manifester Sa puissance le jour où Il fut mis en présence du roi Hérode (Luc 23. 8-9).

Prenons plutôt l’exemple du livre d’Esther où, incidemment le nom de Dieu n’apparaît pas une seule fois. Nous y voyons comment Dieu agit, en s’appuyant sur des circonstances presque banales, pour accomplir Ses plans. Alors que Haman prépare pour le lendemain l’exécution de Mardochée, avant le massacre programmé de tous les juifs, au cours de la nuit le roi perse Xerxès souffre d’insomnie. Quoi de mieux pour s’endormir que de lire les annales de son règne ? Il découvre alors que Mardochée lui avait un jour sauvé la vie en dévoilant un complot ourdi contre lui. La suite de l’histoire, vous pouvez la lire dans Esther 6.

Réfléchissez à l’action divine pour protéger à la fois Mardochée et l’ensemble des juifs du royaume de Perse. Il a suffit qu’un roi ne puisse s’endormir ce soir-là, qu’il demande à lire un livre d’histoire récente et qu’il tombe précisément sur la page relatant le complot contre sa vie et l’action de Mardochée.

Dieu orchestrait les événements pour le bien des Siens. Ce qu’Il aime à faire pour chacun d’entre nous !

4. Pourquoi Lui faire confiance ?

Le Seigneur accomplira Ses plans pour ma vie, Toi dont l’amour dure à toujours…” Psaume 138. 8 

Non seulement rien n’échappe au contrôle que Dieu a sur l’univers, sur l’Histoire, mais en plus Il a élaboré un plan pour notre vie, avec un but bien précis : nous amener tous peu à peu à ressembler à Son Fils : “Car ceux qu’Il a préconnus, Il les a aussi prédestinés à être conformes à l’image de Son Fils…”(Rm 8. 29).

Son but n’est pas seulement collectif, mais aussi individuel. Un plan spécifique existe depuis avant la création pour diriger notre vie, chaque détail déjà souligné. Comprendre que chaque circonstance, chaque événement, chaque décision prise est un produit de l’accomplissement de Son plan, n’est pas toujours facile, car nous reconnaissons les actions commises par les autres pour nous causer de la souffrance, mais nous ne voyons pas celles accomplies par Dieu pour notre bien. D’où l’absolue nécessité de vivre par la foi (2 Corinthiens 5. 7).

Ici l’exemple de Ruth peut nous aider à mieux comprendre la façon divine de travailler dans notre vie. Esther, devenue princesse à la cour de Xerxès évoluait dans un monde qui nous est moins familier que celui de Ruth. Dieu œuvrait aux côtés d’Esther pour sauver tout un peuple. Tandis qu’avec Ruth, les circonstances sont plus simples et “terre à terre” pour ainsi dire.

Pour achever Son plan et amener Ruth à une situation où elle deviendra l’arrière-grand-mère de David, Dieu doit “régler” le déroulement des événements avec minutie. D’abord Ruth doit venir glaner dans un champ spécifique, celui de Boaz (Ruth 2. 3).

Celui-ci aurait pu laisser son contremaître superviser l’opération. Dieu fait en sorte que Boaz arrive sur les lieux (v. 4). Boaz aurait pu ignorer la jeune Moabite, Dieu intervient à nouveau pour faire en sorte que Boaz remarque la jeune femme (v. 5).

Tous ces événements insignifiants en eux-mêmes semblent de pures coïncidences dans la tradition des romans “à l’eau de rose” ! Ruth et Noémi, tout comme Esther et Mardochée, sont des histoires qui se finissent bien. On pourrait écrire qu’ils vécurent heureux et reconnaissants à Dieu pour Son intervention dans leur vie.

Leur histoire nous encourage nous aussi à Lui faire confiance, sachant que “tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu, qui sont appelés selon Son dessein” (Romains 8. 28).

5. Pourquoi Lui faire confiance ?

Je forme la lumière et Je crée la nuit, Je fais le bonheur et Je crée le malheur, oui, c’est Moi, le Seigneur, qui fais tout cela.” Esaïe 45. 7

Faire confiance au Seigneur et Le glorifier ensuite quand les circonstances tournent pour notre bien est somme toute assez facile. Mais comment réagir quand survient soudain un événement tragique qui bouleverse notre vie ? Une maladie incurable à laquelle nous n’étions pas préparés, une séparation que nous n’attendions pas, le suicide d’un de nos enfants ou son arrestation pour trafic de drogue, sont autant de circonstances qui nous prennent au dépourvu.

Allons-nous Lui crier notre colère, penser qu’Il nous abandonnés ? Pourquoi Dieu a-t-il agi ainsi, sans nous épargner une telle crise ? Certains chrétiens semblent se réconforter en pensant que Dieu n’est pas responsable de telles tragédies, ce qui revient à dire que Dieu est souverain au-dessus de certains événements mais pas d’autres.

Ce que les Ecritures contredisent : “Au jour du bonheur, sois heureux, et au jour du malheur, regarde : Dieu a fait l’un exactement comme l’autre, de telle sorte que l’être humain ne trouve rien de son avenir”(Ecclésiaste 7. 14).

Dans la même veine Jérémie écrit: “N’est-ce pas de la bouche du Très-Haut que sortent les malheurs comme le bonheur ?”(Lamentations de Jérémie 3. 38).

Dans le chapitre d’Actes 12, nous découvrons deux événements très différents : Jacques, le frère de Jean est arrêté et exécuté par les soldats d’Hérode (v. 1-2). Le même sort est réservé à Pierre, lui aussi arrêté et destiné lui aussi à l’exécution. Mais Dieu intervient pour le libérer.

Même circonstance, mais deux issues radicalement opposées. Jerry Bridges écrit :“Mettez-vous à la place de la femme de Jacques et de la femme de Pierre. La première pleure la mort de son mari, l’autre se réjouit de la libération miraculeuse du sien. Dieu était-Il moins souverain dans le cas de Jacques que dans le cas de Pierre? Dieu est-Il digne de confiance seulement lorsqu’Il agit pour notre bien ? N’est-il pas aussi digne de confiance et souverain aussi dans les pires circonstances de notre vie ?”

Il est dur de faire confiance à Dieu, croyant qu’Il est souverain et que toutes choses sont orchestrées par Lui pour notre bien, quand nous souffrons sans comprendre le pourquoi de ces souffrances.

C’est pourquoi il est tellement important de ne jamais dire à un autre chrétien qu’il souffre d’une tragédie parce qu’il a péché ou n’a pas été fidèle à Dieu !

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L’épicerie du bonheur

Un jour, un lundi matin, une nouvelle épicerie tenue par un ange est apparue dans la rue piétonne.

Un adolescent curieux frappe à la porte et dit : « Ben, qu’est-ce que tu vends ? »

L’ange dit : « Moi, je ne vends rien, je donne.

– Ah, alors qu’est-ce que tu donnes ?

– Je te donne tout ce que tu me demandes. Tu me demandes quelque chose, je te le donne!

– Ah bon ?

– Réfléchis un petit peu, tu ne vas avoir cette occasion qu’une fois dans ta vie ; ne viens pas me déranger pour un booster ou une platine CD, réfléchis un peu à ce qui peut être le plus important pour toi. Va chez toi, réfléchis cette nuit et reviens demain matin. »

Alors l’adolescent rentre chez lui, réfléchit : « C’est vrai, le booster me ferait bien plaisir, mais ce n’est peut-être pas ce qui va construire mon bonheur ! » L’adolescent réfléchit longtemps.

Et il revient le lendemain matin et dit à l’ange : « Ça y est, j’ai trouvé ! Tu me donnes un grand seau de paix, un grand broc de justice et une grande platée d’amour. Parce que la paix, la justice et l’amour, s’il y avait ça dans ma famille, dans l’école, dans mon quartier, ce serait merveilleux ! »

Alors l’ange le regarde : « Attends, attends, on s’est mal compris, on s’est mal compris !

– Tu m’as dit hier que tout ce que je veux, je te le demande, tu me le donnes !

– Ben oui, mais attends, tu n’as pas vu ? Ici, on ne vend que des graines. Alors, je te donne une graine d’amour, une graine de paix et une graine de justice. Et bien sûr, c’est à toi de les planter et de les faire grandir. Moi l’ange, je ne donne que des graines. »

Je vous laisse le soin de trouver un verset que cette histoire vous inspire !

Par Jean-Marie Petitclerc – publié sur le site « Il était une fois, de papillon à chrysalide »

Lien : https://iletaitunefoi777.wixsite.com/2chrysalideapapillon/post/l-épicerie-du-bonheur

 

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Célébrons Ensemble du 25 mars 2023

Nous voici arrivés à la dernière étape des 5 essentiels ! Nous terminons cette série avec l’évangélisation.

Un petit rappel des 5 essentiels :

Les petits groupes ont réfléchi à la manière dont chacun est témoin autour de lui mais a aussi cherché à savoir s’il est réellement satisfait de sa façon d’annoncer la Bonne Nouvelle.

Dans un deuxième temps, chaque groupe a été invité à mettre au point un scénario réel dans lequel il choisit de quelle manière il souhaite que, tous ensemble, nous soyons des témoins dans notre ville ou notre quartier.

Plusieurs bonnes idées ont été développées. En combinant les différentes formules, nous essayerons de mettre au point le meilleur projet d’évangélisation que nous voudrions appliquer concrètement en septembre !

Nous vous révèlerons bientôt quel scénario a été retenu !!!!

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Célébrons ensemble du 28 janvier 2023

Toujours dans la découverte des 5 essentiels, notre rencontre s’est déroulée autour de la thématique du service.

Nous avons commencé par une louange un peu particulière !

L’une des cellules de maison a installé une pièce entièrement dédiée à la louange et l’a appelée « Temple de louange ». Cette pièce était remplie de toutes sortes d’objets et d’éléments de décoration et de bricolage.

Chacun a pu exprimer sa créativité en façonnant un objet comme il le souhaitait, et tout cela dans le calme et le silence afin de permettre à chacun d’être dans la présence de Dieu.

Une autre forme de louange donc, appréciée par tous même s’il n’est pas toujours évident de concevoir la louange sans musique !

Des petits groupes et un enseignement sur le service nous a permis de découvrir des outils pour aller plus loin dans notre marche avec Jésus.

Voici cette après-midi en images…..

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Même peu

« Il y a ici un jeune garçon qui a cinq pains d’orge et deux poissons; mais qu’est-ce que cela pour tant de gens? » Jean 6 : 9

Dieu nous demande d’être ses disciples, de donner de nous pour faire connaitre la bonne nouvelle de l’Evangile. Il veut que chacun donne de lui-même pour qu’il puisse l’utiliser.

Toi, tu te dis que tu ne sais pas faire grand-chose. Tu ne sais pas prêcher, tu ne chantes pas très juste, tes notions de musique datent du collège quand tu soufflais péniblement dans une flûte à bec. Tu n’es pas très riche non plus pour donner aux œuvres de quoi les booster, tu ne sais pas quoi faire, en somme.

Pourtant Dieu donne à chacun. Il nous donne différemment pour que les uns à côté des autres, nous construisions une belle œuvre complète. Si certains se mettent en action, mais attendent les indécis, ils n’iront pas aussi loin que si tout le monde est sur le pont.

Et si tu te dis que ce que tu as n’est pas suffisant, détrompe-toi. Si le garçon avait commencé à raisonner, il aurait trouvé ses 5 pains et ses 2 poissons ridicules à la vue de la foule affamée. S’il avait écouté son raisonnement, il aurait continué sa route en se disant que c’est insuffisant, donc inutile. Mais Dieu a su faire fructifier le peu qu’il a donné.

Ne cherche pas à savoir si ce que tu fais aura de l’ampleur, fais-le pour Dieu. Et il le fera fructifier.

d’après le site « Il était une fois : de chrysalide à papillon«